Les Chroniques de l'autoédition

Pour celles et ceux qui suivent ce blog, vous avez constaté combien le sujet de la seconde guerre mondiale fait encore couler beaucoup d'encre et de larmes ( Voyez la chronique de La Rose blanche ) . Et je vous confirme qu'il intéresse aussi bien les lecteurs que les auteurs, je vous le confirme. En effet l'enchevêtrement des destins évoqués ressemblent bien au nôtre présentement. Toute ressemblance avec des personnes ayant existé est pur fruit du hasard... Chaque ouvrage est différent et à sa propre raison d'être. Dans celui-ci, l'auteur nous fait le cadeau d'expliquer la genèse de son histoire, d'une façon anecdotique qui le rend très proche de nous. En quelques mot, on se retrouve à sa table,  corrézienne et savoureuse, soit dit en passant. Mais l'entrée en matière cache le plat de résistance : l'avertissement au lecteur (et moi, je ne résiste pas au plaisir renouvelé de vous renvoyer vers la page de Michel Balmont , qui est un pur d...

Pour celles et ceux qui suivent ce blog, vous avez constaté combien le sujet de la seconde guerre mondiale fait encore couler beaucoup d'encre et de larmes ( Voyez la chronique de La Rose blanche ) . Et je vous confirme qu'il intéresse aussi bien les lecteurs que les auteurs, je vous le confirme. En effet l'enchevêtrement des destins évoqués ressemblent bien au nôtre présentement. Toute ressemblance avec des personnes ayant existé est pur fruit du hasard... Chaque ouvrage est différent et à sa propre raison d'être. Dans celui-ci, l'auteur nous fait le cadeau d'expliquer la genèse de son histoire, d'une façon anecdotique qui le rend très proche de nous. En quelques mot, on se retrouve à sa table,  corrézienne et savoureuse, soit dit en passant. Mais l'entrée en matière cache le plat de résistance : l'avertissement au lecteur (et moi, je ne résiste pas au plaisir renouvelé de vous renvoyer vers la page de Michel Balmont , qui est un pur d...

Pour notre SEMI - synergie d'échange de manuscrits inédits - de ce samedi automnal qui commença dans le brouillard pour se poursuivre au soleil, nous étions 4 (ou plutôt 5 car un lecteur silencieux s'était glissé  en soutien d'auteure), un joli nombre et une belle brochette de projets : MR présente le premier tome de son roman d'anticipation et un roman policier dont la version 1 est quasi achevée AL présente un roman en 2 tomes : amour, aventure, enquête. CV présente un polar en cours d'écriture CB présente une idée de luminions poétiques qu'elle tient de MB, d'ailleurs De l'ouvrier et de ses outils Après les considérations d'usage sur les divers impératifs et contraintes d'écriture, on retient que, si le bon ouvrier se reconnaît à ses outils, l'écrivain a intérêt à apprivoiser son matériel informatique. Les échanges de service sont donc de mise. Ça tombe bien ! L'association Écriture Plurielle met en pla...

Le manuscrit de la semaine n'a pas déçu mes attentes. Son auteur est connu et, même s'il annonce un roman policier et de science-fiction, la dose d'aventure et de réflexions diverses ne fait pas défaut. Du coup, je suis allée lire ce que disait Google de son titre, que je ne vous révèlerai pas ici (puisque je vous propose d'entrer en relation directe avec l'auteur justement). Voici ce que j'ai appris de Shimano Masahiro (Hanshi - 8ème dan) "Au sujet du contrôle de son adversaire, on parle du précieux enseignement du « san-sappô ». Cela veut dire « tuer » le sabre de votre adversaire, son waza et son ki . « Tuer » le sabre fait allusion à l’action de supprimer ou heurter ( harai ) le shinai de son adversaire en lui empêchant toute liberté de mouvement du kensen . Tuer la technique veut dire conserver la pression vers l’avant et ne pas donner à son adversaire le temps de préparer son action ou faire une attaque effective. Tuer son ki signifie ...

Il est des livres qui nous racontent notre histoire... ... et cela comme par magie, même s'ils nous parlent d'autres personnages. D'ailleurs, je me demande si ce n'est pas à cela qu'on reconnaît un Auteur avec une majuscule, s'il vous plaît. Toujours est-il que j'ai parcouru avec un grand intérêt le manuscrit de la Rose Blanche, d'une part parce que je connais l'auteur et que ma curiosité est forcément aiguisée -mais cela devient une habitude, comme vous le savez si vous lisez ce blog parfois ; d'autre part, parce qu'à force de visiter les expos d'art contemporain, je suis persuadée de la prégnance de la thématique de la seconde guerre mondiale. Nous avons des comptes à régler, qui ne le sont pas encore avec cette histoire tragique qui a fait "dévier" toute l'humanité.  Bijou de Sheila, Le Monde et Moi  Regard de femme sur l'Histoire La lecture de ce roman de jeunesse nous apporte un angle de vue ...

On ne vous le dira jamais assez :"L'habit ne fait pas le moine !" et vous le savez bien : Le titre ne fait pas le livre ! Lire Mô Boutaleb, c'est plonger dans le courant  puissant d'une langue sans concession, qui n'a pas peur des gros mots, ni des beaux mots ! Les Taudis de la Liberté, Mô Boutaleb, Mon édition 2017 Comment dire ? l'effet est détonnant : alors que son constat est accablant ( Injustice, cruauté des hommes, souffrances, douleurs, pauvreté. ..etc, hélas), on ressort de la lecture d'une seule page comme animé d'un souffle d'idéal ravageur et revigorant. Cette plongée dans un tel flux vital m'a rappelé Tomek Dziano, un bluesman, auteur - compositeur , dont la courte biographie s'initle le Fils Prodigue. Rien n'est rose et même au contraire et pourtant, la puissance poétique des textes donne une pêche formidable, car tout est à faire, justement ! Les Taudis de la Liberté, Mô Boutaleb, Mon édition 201...